Wednesday, December 2, 2009
La mort du Maître
Dans cette scène touchant, on voit le maître, à ses dernières heures. Avant sa mort le maître a changé. Il était un extrémiste mais à la fin de la vie, il souri et il était attaché au fou. Le rapport entre le Fou et le maitre devient proche vers la mort du maitre. « Maître, emmène-moi, ne me laisse pas ici… » Le Fou murmurait doucement à lui. Le maitre est dans la prière à Dieu pour la dernière fois, et comme d'habitude, il sent un grand reconfort de la Parole de Dieu. Il recule dans la prière jusqu'à ce qu'il soit la mort. La scène a affiché l'heritage et le dévouement aux Diallobé, il a continué de prier en dépit de l’interruption abouti par le fou. C’était un moment très puissant. Avec les derniers chuchotements du maître, il a proclamé son gratitude à Dieu. Or, le Fou tente de resister a la mort, mais il est trop fort. Le maître est mort et enterré par le Fou, sans prononcer un mot. «le déposa à terre». Il est évident que dans le contexte d'une mort musulmane, elle a été parfaite et complète, contairement à la mort de Samba. L’atmosphère était extrement tendue et nous pouvons voir le thème de violence, «mettant brutalement la main à la bouche». Le mot ‘brutalement’ est significatif parce qu'il est une expression de la violence qui est existante partout dans le roman et il ajoute à la tension de cette scène, comme j'ai mentionnée, le fou ne peut pas accepter la mort du maître. Ainsi, presque immédiatement, il place le contrôle de la religion musulmane dans les mains de Samba. Il était menacé par la présence de Samba, il disait tout ce qu'il pense pour trouver des raisons dans lequel Samba n'était plus un homme de religion, comme il l'était avant. La réaction de Samba avait beaucoup de signification, il était d'accord avec le fou. Il était d'accord que l'ouest est toxique dans beaucoup de facons est que c'est tellement difficile pour la foi à vivre là-bas. Sambe lui avait demandé de partager ses theories sur son temps passé à l'Occident. Il croit, comme Samba, que les hommes occidentaux sont consommés par des objets, en essence, ils « ont été mangés par les objets». Du point de vue de le maître, la mort est une chose positive. La mort est un événement qui renforce la vie et elle est rédemptrice.
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment