Friday, October 16, 2009
Deuxième commentaire
Au cours de cette section on voit le contrast entre la vie des jeunes graçons et la vie de le maître " ils grelottaient sous leurs léger haillons a la porte de la vaste demeure du chef des Diallobe". Ça invoque chagrin. Mais même qu'il est en haillons, on lit que les gens savent qu'il serait un dirigeant a l'avenir. Il se sens injustice, il veut être égale avec ses collègues mais ça ne marche pas. Il en était exaspere. Il y a un paradoxe quand Dembel dit "Il n'est pas couraguex" parce qu'il ne se batte pas avec lui, mais moi, je vois qu'il est très courageux parce qu'il résiste ses taquineries. On rencontre la Grande Royale. L'auteur se remarque notre attention à son âge. Il commence avec "Elle avait soixante..." et il finit avec "malgré son âge". L'auteur décrit la Grande Royale avec précision. Mais sa personnalité n'est pas belle, elle est sévère. On voit le conflit du pays dans les personnages de Thierno et la Grande Royale. Elle pense qu'il n'apprendra rien avec Thierno, et Thierno croit qu'après ses cours, il va donner l'espoir pour le pays. Elle veut changer et apprendre les nouveaux méthodes de l'ouest, il veut retenir à le passe.
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